Au Moyen-Âge, on avait les moyens de vous faire parler ! En tous cas, les moyens d’essayer de vous y contraindre !
L’issue était quasiment toujours fatale, ne serait-ce que pour l’exemple. Quand vous arriviez aux mains des bourreaux, avouer ou pas n’était finalement qu’une option. Votre sort était déjà décidé !
Sorcellerie, hérésie, adultère, homosexualité, autant de crimes (ou d’innocence) punis de façon souvent arbitraire, mais toujours dans le respect de l’art ! Un art sadique, dans lequel l’humain rivalisait de près avec le diable. Une imagination fertilement macabre, monstrueusement innovante !
Quelqu’un a-t’il déjà assez haï une personne pour lui souhaiter une telle vengeance ?
Un étonnant florilège de ces pratiques terribles et sans nul doute très douloureuses !
1. La cage
Vous imaginez bien que vue la forme, ce n’était pas destiné à un oiseau innocent !
Pas de grande originalité là, rien de bien folichon ! On y enfermait le coupable jusqu’à ce que mort s’ensuive. Suspendue en place publique, ladite cage offrait une occasion rêvée aux volatiles, de pratiquer une vengeance bien méritée !
2. Le berceau de Judas
Sur le principe de l’empalement, mais version anale… Cette méthode consistait à assoir le condamné sur la pointe d’une pyramide. Si celui-ci ne mourait pas des suites de l’écartèlement de son fondement, c’était suite aux maladies transmises par l’objet. Evidemment jamais lavé ni désinfecté après les supplices..